“Le tango argentin est à lui seul une vraie petite révolution. Au cérébral abstrait, il oppose la sensualité et le tactile. A la raison mesurée, l’émotion et l’abandon. Au pouvoir unilatéral, le partage et le fusionnel” (extrait). Mon regard sur le tango argentin est foncièrement subjectif et masculin, comme celui que je porte parfois sur vous, compagnes de mes danses et de mes émois. Ce que j’écris ici n’est pas un essai consacré à la technique du tango, mais un témoignage d’ordre émotionnel…
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