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1 Comment

  1. Lecteur anonyme
    23 octobre 2022 @ 11h10

    En compulsant cet ouvrage j’ai curieusement eu la sensation d’être transporté au museum d’histoire naturelle, devant le squelette reconstitué d’un phénomène antediluvien. J’ai le sentiment de lire une thèse défendue par une étudiante en ethnologie, le docte travail qui consacre une brillante fin d’études.
    Ceci est un constat, non une critique.
    Peut-on délibérément s’intégrer au milieu des milongueros seulement animé d’une curiosité professionnelle, avec la volonté de maintenir une distance raisonnée à cet univers dans lequel prime l’émotionnel ? Les résultats d’une telle attitude évoquent pour moi ceux qu’obtient un anesthésiste qui procède par hypnose : les études du praticien ont été sérieuses, son diplôme en atteste, hélas malgré la bonne volonté du patient il ne parvient pas à pénétrer l’univers parallèle auquel il s’efforce d’accéder. Je souligne le sérieux du travail, pour ma propre gouverne je prend acte de certaines notions développées, hélas je persiste à penser que l’auteure pressent que dans ce monde le rationnel n’est pas la substance dominante mais qu’elle ne l’a pas pénétré affectivement. Elle n’aurait pas été touchée par la grâce…
    Y.

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